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1 septembre 2011 4 01 /09 /septembre /2011 18:00

 

 

Le vétérinaire commandant Michael Lallemand a récemment conduit avec les personnels du GRIMP du SDIS49 une nouvelle intervention de sauvetage d'un équidé en situation difficile.

Les sapeurs-pompiers de Maine-et-Loire sont alertés vers 20h00 par le propriétaire d’une pension équine dont l’un des pensionnaires, un double-poney mâle d’environ 400 kg, vient de faire une chute de 3m50 dans un fossé, en tentant de franchir celui-ci pour rejoindre des congénères. Les premiers secours sont sur place une quinzaine de minutes après l’appel. Avec l’aide du personnel présent sur les lieux, ils tentent de calmer le poney avant l’arrivée du GRIMP et du VSP demandés en renfort. Le GRIMP arrive en premier sur les lieux et constate que le poney a été choqué par sa chute et n’arrive pas à se relever, ses postérieurs lui faisant défaut. Il n’est pas envasé et la pose de sangles est rapidement entreprise. Chaque membre est sanglé individuellement. Une barre métallique permet de solidariser les attaches des membres antérieurs ainsi que celles des postérieurs entre elles, afin d’éviter tout écartement ou glissement. Les deux points d’attaches des cordes situés à chaque extrémité de la barre permettent de contrôler tout effet de bascule du tronc de l’animal.

Les mouvements de l’encolure et des antérieurs du poney, qui tente de se dégager, compromettent à la fois sa propre sécurité et celle du personnel alentour. Comme les fonctions cardio-respiratoires du poney le permettent, la décision est prise, en accord avec le propriétaire, de lui administrer une dose modérée de sédatif. Grâce à celle-ci, le relevage s’effectue dans de bonnes conditions, à l’aide d’un engin agricole. Malheureusement, le poney n’est pas capable de se tenir debout une fois sur la terre ferme. Un cathéter est posé au niveau de la veine jugulaire. Une dose d’anti-inflammatoire non-stéroïdien est administrée rapidement pour ses vertus analgésiques et une perfusion intraveineuse de sérum physiologique à fort débit est mise en place, afin de contrôler l’hypotension que pourrait occasionner le sédatif. Après une heure et demie de soins intensifs, la vigilance du poney est encore altérée et ses membres postérieurs toujours paralysés. La musculature lombaire est sévèrement contracturée et une lésion de la moelle épinière est suspectée à ce niveau.

Malgré le déroulement favorable de l’intervention et le relevage rapide, ce pauvre poney succombera quelques heures plus tard à ses blessures. Cette intervention nous rappelle que l’impotence du train postérieur chez un équidé non envasé est un critère de gravité qui engage le pronostic vital de l’animal, quels que soient les moyens mis en œuvre.

En cliquant sur la photo ci dessous on accède à l'album photos de cette intervention.

 

07. Poney excavation sdis49

 

 

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 18:28

 

01 vache fosse lisier sdis21

 

Le 23 mars dernier, les pompiers du Sdis 21 sont intervenus sur la commune de Prâlon pour une opération de secours des plus spectaculaires. Il s'agissait de venir en aide à une vache, embourbée dans un champs situé derrière une ferme. Le bovin était enlisé dans une fosse à purin de 3 à 4 mètres de profondeur.

Pour lui porter secours, les hommes grenouilles ont glissé des sangles sous l'animal avant de le tracter grâce à un engin de levage agricole. L'opération a durée plus de trois heures et était supervisée par notre camarade le vétérinaire Lieutenant Colnel Bernard Vaenderen.

La vache est ressortie saine et sauve de sa mésaventure.

 

Cliquez ici pour accéder aux photos de l'intervention (Copyright SDIS21)

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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 12:24

 

 

SDC17656.JPG

 

Compte rendu d'intervention de Mickeal Lallemand, VSP au SDIS 49

 

 

Agression mortelle par un taureau : une intervention psychologiquement difficile.

 

Le 26 mai vers 8h00 du matin, le CTA49 est contacté suite à l’agression d’un agriculteur par le taureau reproducteur de son exploitation. C’est un membre de la famille qui a donné l’alerte.

Alors qu’elle assurait les soins quotidiens de ses animaux, la victime a été agressée dans la stabulation par un taureau de race Rouge des prés (anciennement connue sous l’appellation Maine-Anjou), pesant plus d’une tonne. Toujours en liberté dans la stabulation, l’animal est inapprochable et menace toujours sa victime inanimée. Face à cette situation, le chef de groupe décide d’engager un VSP pour maîtriser l’animal.

Durant mon trajet, l’agriculteur a pu être extrait de la stabulation et pris en charge par l’équipe du VSAV et le médecin SP, dans l’attente du SMUR. Son décès sera malheureusement constaté peu après l’arrivée des urgentistes, suite à de vaines tentatives de réanimation cardio-respiratoire.

Techniquement, la tranquillisation d’un tel animal ne présente pas de difficulté particulière : particulièrement agressif, le taureau observe toute personne approchant de son enclos avec une attitude menaçante, sans tenter de fuir. Un tir à moins de 5 mètres est réalisable sans difficulté. La décision de presser la détente dans un tel contexte est cependant tout sauf anodine… L’usage d’un protocole de sédation efficace, qui permettra à l’équipe SP de capturer le bovin sans risque, implique l’injection d’un mélange de molécules qui auront pour effet de rendre la viande impropre à la consommation jusqu’à ce que les résidus de ces molécules soient éliminés par le métabolisme du bovin. Le dilemme est donc le suivant : capturer le bovin sans risque aujourd’hui entraînerait une mise en « quarantaine » de 60 jours avant son abattage, date à laquelle il sera à nouveau en pleine possession de ses moyens et susceptible de récidiver... L’euthanasier sans risque, suite à une sédation profonde, ajouterait un préjudice économique à cette funeste journée, puisque la carcasse ne serait plus consommable. La seule alternative : le chargement immédiat vers un abattoir sans sédation est une option que nous avions exclue d’emblée. Un drame suffit.

Confronté à une telle situation, aucune option n’est parfaite. Mais devant la famille, l’équipe SP, épaulée par le Maire de la commune, ne pouvait recommander autre chose que l’euthanasie de l’animal, afin de prévenir un nouvel accident lors du chargement du taureau vers l’abattoir. C’est finalement la décision qui fut prise.

Cette intervention nous rappelle que malgré un tempérament d’ordinaire placide, certains bovins peuvent être particulièrement dangereux dans un contexte favorable (mâle en liberté en présence de femelles en chaleur, femelle protégeant son petit). Les accidents sont rares, mais face à un animal pesant plus d’une tonne, rappelons-nous qu’il n’existe presque aucune marge d’erreur.

 


 

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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 12:15

 

05 cheval enlisé sdis49

 

Compte rendu d'intervention de Mickael Lallemand, VSP au SDIS 49

 

 

 

GRIMP + VSP : une équipe qui gagne !

 

Encore une fois, une intervention rondement menée nous démontre la complémentarité entre le groupe d’intervention en milieu périlleux et le vétérinaire chez les sapeurs-pompiers.

 

Le 31/07/10 vers 16h30, le CTA49 est alerté par le propriétaire d’un cheval prisonnier d’un trou d’eau peu profond mais rempli de vase. Après plusieurs essais infructueux pour s’en extraire, l’infortuné quadrupède est resté prisonnier du trou d’eau, les membres postérieurs enlisés dans la boue. Première arrivée sur les lieux, l’équipe du centre de secours de Champ sur Layon s’assure que la position du cheval est stable et demande une équipe GRIMP ainsi qu’un VSP en renfort. Le chef d’agrès mobilise également un engin muni d’une fourche télescopique, indispensable pour lever un cheval adulte.

A l’arrivée des équipes spécialisées, le cheval est calme. Sa position est inconfortable mais stable. Hormis une fatigue évidente, l’examen initial est rassurant. Ce paramètre a joué en notre faveur, nous permettant de préparer calmement la manœuvre de levage.

Après élagage des abords du trou d’eau, afin d’approcher l’engin télescopique au plus près de la rive, de la paille est dispersée autour du cheval, afin de stabiliser la boue pour que le cheval puisse y prendre appui. 2 sangles sont glissées sous l’animal et solidarisées par une poutrelle métallique, laquelle est solidarisée à la fourche de l’engin télescopique.

Une fois le dispositif en place, le cheval est levé, les équipiers GRIMP s’assurant que la poutrelle métallique soit stable dans un plan horizontal. Après une première tentative infructueuse, les attaches de la poutrelle sont déplacées afin que celle-ci soit aussi parallèle que possible avec l’axe dorsal de l’animal. Cette fois-ci, la manœuvre est couronnée de succès : une fois ses postérieurs extraits de la vase et son corps approché de la rive, le cheval reprend ses appuis et franchit les derniers mètres sur ses quatre fers, sain et sauf, avec pour seul dommage un membre postérieur droit légèrement ankylosé.

Grâce au contrôle rassurant de l’état de santé du cheval par le VSP, le GRIMP a pu organiser sereinement sa manœuvre, ce qui nous a permis de mener à bien cette opération délicate sans incident.

 

Les photos de l'intervention

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26 mai 2010 3 26 /05 /mai /2010 16:04

 

2 Capture chevreuil SDIS 49

 

Compte rendu d'intervention de Mickael Lallemand, VSP au SDIS 49

 

Emprise des stupéfiants : les chevreuils aussi…

 

Le dimanche de la Pentecôte, le CTA49 est contacté par un citadin qui a eu la surprise de se trouver nez à nez avec un chevreuil au beau milieu de son potager, en pleine agglomération. Déjà aperçu les jours précédents, ce jeune mâle s’est « échoué » dans ce potager en sautant de proche en proche au dessus des grillages. Un VTU et le VSP ont été déclenchés pour capturer le fugitif. Compte tenu de l’affolement du chevreuil et de la configuration des lieux, nous avons décidé d’utiliser un filet, réservant l’option fusil hypodermique au dernier recours. Une carcasse d’automobile située dans le fond du jardin, à environ 5 m d’un portail métallique de 2,5m de haut constituait un bon point d’appui pour un filet de marche. Une fois le filet fixé au montant du portail, un équipier a été posté près de l’épave pour le maintenir en tension. Le rôle des équipiers et du VSP était de rabattre le chevreuil dans le fond du jardin, en lui laissant pour seule option de se jeter dans le filet. L’opération s’est parfaitement déroulée, les cornes du chevreuil s’emmêlant dans le filet, nous permettant de le saisir à la main.

Cette intervention est un grand classique du mois de mai : les chevreuils, très friands de baies de bourdaine, s’intoxiquent avec un alcaloïde aux propriétés psychotropes, contenu dans les baies. Désorientés, ils approchent anormalement près des habitations, errant dans les agglomérations sans retrouver leur route.

Notre chevreuil, épuisé, a été relâché dans la nature, près d’un ruisseau. Nous avons pris la précaution de le relâcher au-delà d’une barrière d’autoroute, afin de ne pas renouveler l’opération quelques heures plus tard… Comme quoi la toxicomanie ne se limite pas à l’Homo sapiens…

 

1 Capture chevreuil SDIS49

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13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 09:31

 

 

01 génisse enlisée sdis49


Compte rendu d'intervention de Mickael Lallemand, VSP au SDIS49:


Le 17/04/2010 à 11h30, le CTA49 est sollicité par un agriculteur pour secourir 3 génisses laitières tombées dans un trou d’eau de 4 mètres de profondeur, situé en bordure de leur parcelle, sous un enchevêtrement de ronces.

Un VTU, un CCF4000, une VLCG, le GRIMP et le VSP sont déclenchés d’emblée. Premier arrivé sur les lieux, je découvre que 3 génisses âgées de 12 à 18 mois ont réussi à se glisser sous la haie de ronces qui délimite leur prairie. En passant sur la plaque de tôle qui recouvrait la mare d’où était pompée leur eau d’abreuvement, elles sont tombées dans un trou d’eau aux bords abrupts, la plaque cédant sous leur poids.

L’éleveur ne sait pas depuis quand les génisses sont tombées dans le trou puisqu’il n’est  pas passé les voir depuis 48 heures. A l’arrivée des secours, l’une des génisses est déjà morte. En concertation avec le chef de groupe, nous décidons de faire appel à une équipe de plongeurs pour sangler les génisses avant leur levage, à l’aide d’un engin agricole.

En attendant l’arrivée des plongeurs et du GRIMP, les équipes du VTU et du CCF ont rasé la haie et attaché une commande à la tête de chaque animal pour leur maintenir la tête hors de l’eau.

Une fois sortie de l’eau, la plus petite des génisses est morte, vraisemblablement suite à un « drop syndrom », conséquence de son hypothermie majeure (T°<32°C). La plus grosse des génisses est à l’heure actuelle en parfaite santé et toujours gestante. Moralité, quand on passe quelques heures dans de l’eau à 12°C, mieux vaut être gros et gras !

 


Cliquez ici pour accéder aux photos de l'intervention

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12 mai 2010 3 12 /05 /mai /2010 09:51

 

 

retex haiti

 

Si les vétérinaires sapeurs pompiers, membres du Service de Santé et de Secours Médical pourtant, étaient absents du très joli poster "image d'Epinal" offert aux participants de notre congrès 2010...et si le film réalisé sur ce meme congrès relatant l'atelier "NAC" nous explique comment cetb atelier aux pratiques de contention-capture des reptiles fut utile pour les médecins et les infirmiers...il est au moins un vétérinaire dont le travail y fut reconnu et récompensé, Manuel Mersch (SDIS 95), via la conférence (acceptée en communication libre) qu'il a donné sur son Retex de vétérinaire ayant participé à la mission de secours lors du tremblement de terre catastrophique d'Haiti.

Cette version de sa présentation, plus courte que celle figurant déjà en ligne sur notre site, n'en est pas moins remarquable car factuelle et pédagogique, démontrant à certains si besoin en est encore l'utilité indéniable du vétérinaire sapeur pompier dument formé dans une telle situation de crise.

Il suffit de cliquer sur l'image ci dessus pour accéder au document pdf de la conférence.

 

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1 mai 2010 6 01 /05 /mai /2010 10:25

Vache-N82

 

 

 

 

 

Ci dessous un article publié sur le site www.pompiers.fr relatif à une intervention de sauvetage de génisse tombée dans un puits conduite par le VSP local.

 

Le 17 avril 2005, la neige tombe dru. De nombreux troupeaux ont déjà gagné les pâturages. A 11 h 30, le CTRA reçoit un appel pour un sauvetage d’une vache tombée dans un puits en milieu naturel sur la commune de Mûres.


Le CTRA décide l’engagement du CPI Mûres par l’envoi d’un VPI armé de cinq hommes, complété par le VTU Alby-sur-Chéran avec trois autres dont deux équipiers animaliers. Les deux détachements se présentent sur les lieux à 11 h 41. Après une rapide reconnaissance effectuée par les chefs d’agrès, il est constaté qu’une génisse en cours de gestation d’un poids d’environ 500 kilos a chuté dans un puits en pierres sèches d’un diamètre de 2 m 50 et d’une profondeur d’environ 7 m, suite à l’effondrement de la margelle. Le puits est quasiment rempli d’eau à cette époque et la génisse surnage dans une eau à 6 °C à environ 2 m en dessous du niveau du sol. Nul ne peut indiquer depuis combien de temps l’animal se trouve dans cette situation.

Rapidement, il est décidé :
• de sécuriser la zone pour assurer la sécurité des intervenants et des témoins ;
• d’engager dans le puits un équipier animalier assuré au moyen du LSPCC (lot de sauvetage et de protection contre les chutes) pour passer un licol à l’animal afin de le préserver de la noyade en maintenant la tête hors de l’eau et aussi le rassurer par une présence.

 

Vache-N84

Idée de manœuvre

Après concertation, l’idée de manœuvre est la suivante : il faut procéder à l’assèchement du puits afin de déposer l’animal au fond pour pouvoir le sangler et le remonter. Il est demandé, par le biais du propriétaire, l’acheminement sur les lieux d’un engin agricole de type élévateur télescopique d’une levée de 7 mètres appartenant à une entreprise de travaux agricoles et du vétérinaire de l’élevage et, par le biais du Codis 74, l’engagement des sangles de levage gros animaux basées au CSP Annecy.
A 11 h 54, les opérations d’assèchement débutent au moyen des engins du CPI Mûres. Elles vont durer 30 minutes. Pendant ce temps, un second binôme procède à l’installation d’un deuxième dispositif de descente moyennnant le LSPCC qui servira à descendre le deuxième équipier animalier au fond du puits pour amarrer l’animal. A 12 h 35, le CDG Rumilly et le vétérinaire se présentent sur les lieux, ainsi que l’engin de levage et un VL d’Annecy avec les sangles de levage. Le CDG, après reconnaissance et concertation avec les intervenants, dont le vétérinaire, valide les idées de manœuvre.

Pendant ce temps, l’animal est arrivé au fond du puits et, épuisé, il se couche. Les deux équipiers animaliers sont descendus au fond du puits avec tout le matériel nécessaire au sanglage et à la remontée de l’animal. Après plus d’une heure d’efforts dans des conditions difficiles dues au froid, à la vase, à l’étroitesse de l’édifice et à la position couchée de la génisse, celle-ci est enfin prête à être remontée. Les deux équipiers sont ressortis, l’opération de relevage peut débuter. L’animal est remonté à la surface et déposé dans une bétaillère, puis pris en charge par le vétérinaire. Un périmètre de sécurité est maintenu autour du trou. Les opérations prennent fin à 15 heures.
Aux dernières nouvelles, la génisse se porte bien et a donné naissance à un veau en bonne santé.

 

Vache-N85

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29 avril 2010 4 29 /04 /avril /2010 14:54

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Plusieurs détachements français de sécurité civile ont participé aux opérations de sauvetage lors du récent tremblement de terre d' Haiti. En cliquant sur la photo ci-dessus vous accèderez au Retex de notre collègue Manuel Mersch (SDIS 95), tel que présenté récemment à l'ENVA lors du dernier module du DIE de médecine vétérinaire de catastrophe et d'environnement.

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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 17:51

turquie03

 

En 2005 la terre tremblait dans la région du Cachemire, au Pakistan. Notre camarade du service de santé des armées le vétérinaire principal Jean Paul Demoncheaux a participé au détachement médical français envoyé sur place. Son retour d'expérience est accessible en cliquant sur la photo ci dessus.

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  • : Ce site est celui des vétérinaires sapeurs pompiers français, membres du Service de Santé et de Secours Médical des Services départementaux d'Incendie et de Secours.
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